La jalousie n’arrive pas d’un coup.
👉 Elle se glisse, petit à petit.
Et si tu n’as pas l’œil, tu laisses ton empire se faire miner de l’intérieur.
Voici les 4 signaux faibles que j’ai appris à repérer :
1. Les “conseils” déplacés
Un collaborateur jaloux ne critique pas ouvertement.
Il donne des “conseils”.
👉 Mais étrangement, ces conseils vont toujours dans une direction : réduire ton pouvoir, amoindrir ton rôle, remettre en question tes décisions.
2. Les excuses chroniques
“Ah mais ça, c’est pas de ma faute.”
“Ah mais on ne m’avait pas dit.”
“Ah mais j’ai pas eu le temps.”
👉 Les excuses répétées sont souvent un masque.
Derrière, il y a le refus d’assumer la mission parce qu’au fond, il n’a jamais voulu que ça marche.
3. L’absence de loyauté visible
Un collaborateur loyal, ça se voit.
Il défend ton projet même quand tu n’es pas là.
Il parle en “nous”.
👉 Le jaloux, lui, parle en “je” et en “eux”.
4. L’énergie qui baisse dans la pièce
C’est le signe le plus subtil.
Tu rentres dans une pièce, et tu sens que ça colle.
Que ça traîne.
Que l’élan n’est plus là.
👉 C’est la jalousie qui pompe l’énergie collective.
Le remède : trancher vite
Si tu attends, le poison se propage.
Tu crois ménager.
👉 En réalité, tu condamnes ton empire.
Un collaborateur jaloux ne redevient jamais loyal.
La seule option : couper.
Conclusion
La jalousie interne n’est pas un détail humain à “gérer”.
C’est un poison.
👉 Repère-la tôt.
👉 Coupe-la vite.
Parce que chaque jour où tu tolères un jaloux, ton empire perd un peu de sa force vitale.
Julien
© 2025 Julien Niel