Comment j'ai niqué le game (et pourquoi tu peux pas)
Écoute bien, petite merde, parce que je vais te raconter comment j'ai explosé tous les records et pourquoi toi, tu restes coincé dans ta putain de médiocrité. Accroche-toi à ton siège, ça va secouer.
Comment j'ai niqué le game :
1 - J'ai tout sacrifié, absolument tout
Pendant que tu te touchais en regardant des séries de merde, moi je bossais 20h par jour, 7 jours sur 7. Vacances ? Connais pas. Vie sociale ? Mon seul pote, c'était mon putain de business plan. J'ai sacrifié mon confort, mon sommeil, mes relations. Tout. Pourquoi ? Parce que je savais que c'était le prix à payer pour devenir une légende.
2 - J'ai pris des risques de ouf qui t'auraient fait pisser dans ton froc
J'ai tout misé, plusieurs fois. J'ai perdu gros, j'ai gagné encore plus gros. Pendant que tu flippes pour ton petit salaire de merde, moi je jouais ma vie à chaque décision. J'ai investi jusqu'à mon dernier centime dans des projets qui auraient pu me ruiner. Mais devine quoi ? Ça a payé, et maintenant je pisse du champagne pendant que tu bois de la piquette.
3 - J'ai développé une mentalité de tueur en série du succès
Le monde des affaires, c'est la jungle, connard. Soit tu manges, soit tu te fais bouffer. J'ai choisi d'être le putain de prédateur apex. Chaque deal, chaque négociation, c'était la guerre. J'ai écrasé la concurrence sans pitié. Pourquoi ? Parce que dans ce monde, y a pas de place pour les faibles.
4 - J'ai créé des opportunités là où y avait que dalle
J'ai pas attendu que ça tombe du ciel comme un con. J'ai créé mes propres ouvertures, quitte à défoncer des murs. Là où les autres voyaient des problèmes, moi je voyais des occasions en or. J'ai transformé chaque crise en opportunité de faire du fric. C'est comme ça qu'on devient riche, pas en attendant que la chance frappe à ta porte.
5 - J'ai fait de chaque échec une putain de leçon
Chaque fois que je me suis planté, et crois-moi ça a été souvent, j'en ai fait une leçon. Maintenant, même mes erreurs me rendent plus fort. Pendant que les loosers abandonnaient au premier obstacle, moi je me relevais et je revenais deux fois plus fort. C'est ça la différence entre un winner et une merde.
Pourquoi tu peux pas niquer le game comme moi :
1 - T'as pas les couilles, espèce de lâche
Tu flippes dès qu'il faut prendre des risques. Sans risque, pas de récompense, connard. Tu préfères ta petite vie confortable plutôt que de tout risquer pour devenir une légende. C'est pour ça que tu resteras toujours un looser.
2 - Tu cherches des excuses comme un gamin de 5 ans
"J'ai pas le temps", "J'ai pas les moyens", "C'est trop dur". Ferme ta gueule et trouve des solutions. Les excuses, c'est le luxe des perdants. Les winners, eux, trouvent un moyen, peu importe les obstacles.
3 - T'es pas prêt à souffrir, espèce de chochotte
Le succès, ça fait mal. Si t'es pas prêt à en chier, à sacrifier ton confort, à bosser jusqu'à l'épuisement, reste sur le banc des loosers. Le succès, ça se mérite, ça se gagne dans la douleur et les sacrifices.
4 - Tu penses petit comme un hamster dans sa cage
Tes objectifs sont minables. Vise la lune, bordel. Même si tu la rates, tu finiras dans les étoiles. Mais toi, tu vises le caniveau et tu t'étonnes de finir dans la merde. Rêve grand ou casse-toi.
5 - T'es pas constant, espèce de girouette
Tu t'enflammes pendant une semaine et après tu lâches tout. Le succès, c'est un marathon de sprints, pas un 100 mètres. C'est tous les jours qu'il faut se lever et niquer le game, pas quand t'en as envie.
Maintenant, t'as le choix, espèce de larve :
Option 1 : Tu continues à chialer sur pourquoi tu peux pas, tu restes une merde et tu regardes les vrais winners comme moi dominer le monde.
Option 2 : Tu te réveilles, tu arrêtes tes conneries, et tu commences à niquer le game comme un vrai boss.
Si t'as les couilles de choisir l'option 2, clique sur ce bouton et rejoins mon programme "De Looser à Légende en 90 jours". Je vais te transformer en machine de guerre du succès. Mais je te préviens, c'est pas pour les faibles d'esprit. Si t'es pas prêt à en chier comme jamais, reste sur le banc des loosers.
Le choix t'appartient, connard. Reste une merde ou deviens une putain d'icône. Montre-moi que t'as les couilles de changer ta vie de merde.
© 2025 Julien Niel