Perdre 300K ne m’a pas détruit : ce que j’ai vraiment appris.

Un jour, j’ai vu 300K s’évaporer.

Un actif vidé, détruit.

Une entreprise pillée.

Tout le monde pense que le pire, c’est l’argent.

Faux.

👉 L’argent, ce n’était rien.

La vraie leçon était ailleurs.

1. La gelée

Ma première réaction n’a pas été la panique.

Pas la rage.

Pas même la peur.

👉 J’ai gelé.

Comme si mon cerveau refusait de connecter.

Comme si je refusais d’intégrer ce que je voyais.

Et ça, c’est le premier signe d’une vérité brutale :

Ce n’est pas l’argent qui détruit.

C’est la posture que tu prends quand tu perds.

2. Le rôle de dirigeant n’est pas négociable

J’ai voulu être “gentil patron”.

Celui qui rassure.

Celui qui accompagne.

Celui qui “est dans le même bateau”.

Résultat : pillage.

👉 Parce que mon rôle, ce n’était pas d’être gentil.

C’était d’être clair.

3. Résilience ≠ fuite

Beaucoup confondent résilience et survie.

“Tiens bon. Attends que ça passe. Rebondis plus tard.”

Non.

👉 La résilience, ce n’est pas attendre d’aller mieux.

C’est avancer avec deux genoux à terre.

C’est décider que même brisé, tu continues.

4. Pardonner ≠ céder

Pardonner, tu peux.

Céder ton rôle, jamais.

Si tu abandonnes ton trône, tu n’as plus rien à reconstruire.

Conclusion

Perdre 300K ne m’a pas détruit.

Parce que je n’ai pas cédé.

👉 La vraie perte aurait été de renoncer à mon rôle.

Souviens-toi :

L’argent, tu le regagneras.

Mais ton trône, tu ne le récupères jamais si tu le lâches une fois.

Julien